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Fibrome soin naturel
Maladie

Fibrome : Définition, Causes, Symptômes Et Soin Naturel Par Les Plantes

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Qu’est ce qu’un fibrome ?

Un fibrome utérin est une tumeur bénigne qui se développe dans l’utérus. On peut en compter un seul ou plusieurs ; la taille et l’emplacement varient d’un fibrome à l’autre. Les fibromes peuvent mesurer de quelques millimètres à 10 cm ou plus (soit environ la taille d’un pamplemousse). Une femme peut présenter plusieurs fibromes, ce qui fait augmenter le volume de son utérus, parfois même jusqu’à la taille d’une grossesse à terme. Les fibromes peuvent se développer dans la couche musculaire de l’utérus (intramural) ou dans la cavité utérine (sous-muqueux) ou encore se projeter à l’extérieur de l’utérus (sous-séreux).

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Traitement naturel sur les trompes bouchées

Fibrome soin naturel : Causes

Par ailleurs, les causes des fibromes dépendent du type de fibrome en question. Voici quelques informations sur les causes des fibromes utérins, les plus courants :

  1. Facteurs génétiques : Il existe une prédisposition génétique à développer des fibromes utérins. Si des membres de la famille ont eu des antécédents de fibromes, cela peut augmenter le risque.
  2. Hormones : Les hormones féminines, en particulier les œstrogènes et la progestérone, semblent jouer un rôle dans le développement des fibromes. Ils ont tendance à se développer pendant les années de procréation, lorsque les niveaux d’œstrogènes sont plus élevés.
  3. Origine ethnique : Certaines populations, en particulier les femmes afro-américaines, ont un risque accru de développer des fibromes utérins.
  4. Âge : Les fibromes sont plus fréquents chez les femmes entre 30 et 40 ans, bien que cela puisse varier.
  5. Obésité : Il existe des preuves suggérant que l’obésité pourrait être un facteur de risque pour le développement des fibromes.
  6. Grossesse : La parité (le nombre de grossesses antérieures) semble exercer une influence sur le risque de fibromes, avec un risque potentiellement réduit chez les femmes ayant eu plusieurs grossesses.

Diagnostic

Cependant, le diagnostic des fibromes utérins ou d’autres types de fibromes peut impliquer plusieurs étapes. Voici les principales méthodes de diagnostic :

  • Examen physique : Le médecin peut effectuer un examen physique pour détecter la présence de fibromes. Cela peut inclure un examen gynécologique pour évaluer la taille et la forme de l’utérus.
  • Échographie : L’échographie pelvienne est couramment utilisée pour confirmer la présence de fibromes. Elle permet de visualiser l’utérus et les éventuels fibromes. L’échographie peut être abdominale ou transvaginale.
  • IRM (Imagerie par Résonance Magnétique) : L’IRM peut être utilisée pour obtenir des images plus détaillées de l’utérus et des fibromes. Elle est souvent utilisée lorsque des informations plus précises sont nécessaires.
  • Hystérosonographie : Il s’agit d’une technique dans laquelle un liquide est injecté dans l’utérus pour améliorer l’image obtenue par échographie.
  • Hystéroscopie : C’est une procédure au cours de laquelle un mince tube muni d’une caméra (hystéroscope) est inséré dans l’utérus par le col de l’utérus pour visualiser l’intérieur de l’utérus et les fibromes éventuels.
  • Biopsie : Bien que les fibromes eux-mêmes ne soient généralement pas cancéreux, une biopsie peut parfois être effectuée pour exclure d’autres conditions.

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Fibrome soin naturel : Symptôme

20 à 50 % des femmes présentant un fibrome de l’utérus ne souffrent d’aucun symptôme particulier. Leur médecin découvre l’existence de ce fibrome:

  • A l’occasion d’un examen gynécologique de routine ;
  • Lors d’une échographie ou d’examens d’imagerie pratiqués pour d’autres raisons (ex. : grossesse) ;
  • D’un bilan d’anémie, conséquence de saignements parfois peu importants mais répétés ;
  • Lors de la recherche d’une cause à une infertilité.

Lorsqu’ils sont présents, les symptômes sont :

  • Pertes de sang abondantes au moment des règles (ménorragies). Les règles se rapprochent progressivement, durent plus longtemps et peuvent s’accompagner de caillots de sang ;
  • Saignements entre les règles (métrorragies) ;
  • Sensation de poids dans le petit bassin, plus ou moins douloureuse et/ou la perception d’une masse au bas du ventre ;
  • Envies fréquentes d’uriner (pollakiurie) ;
  • Constipation ;
  • Des hémorroïdes ;
  • Des rapports sexuels douloureux.

Les facteurs de risque du fibrome ?

Les facteurs de risque reconnus sont :

  • L’hérédité : si une mère a eu un fibrome, sa fille présente plus de risque d’en avoir aussi ;
  • L’ethnie : les femmes africaines seraient deux fois plus touchées que les femmes d’origine caucasienne (source 1) ;
  • L’absence de grossesse ;
  • Surpoids ou l’obésité ;
  • la périménopause ou la prise d’une hormonothérapie de substitution après la ménopause augmenteraient la croissance d’un fibrome déjà existant.

Traitement naturel

En effet, ces traitements seront choisis avec la patiente en fonction de son âge, du nombre, de la localisation et de la taille des fibromes, des symptômes et de l’éventuel désir de grossesse. Parmi ces traitements, on peut citer :

  • Les agonistes : La LHRH (ou GnRH), hormone de libération des gonadotrophines. Après l’arrêt du traitement, les fibromes reprennent généralement leur taille initiale (« effet accordéon ».
  • Des progestatifs : Ils sont réputés ralentir le développement des fibromes.
  • Des antalgiques ou des anti-inflammatoires pour lutter contre les douleurs
  • Des médicaments hémostatiques permettant de diminuer les saignements peuvent également être utilisés.

Lorsque ces traitements médicamenteux sont inefficaces ou insuffisants, une intervention chirurgicale peut être indiquée.

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